En 1966, les ruelles de Kathmandu sont très animées par les népalais eux-mêmes qui en prennent possession pour toutes sortes d’activités. Rare encore sont les voitures et les motos et plus rare encore, sont les étrangers que l’on compte sur les doigts des deux mains.
Soldats Gurkhas à l’appel.
C’est sur les rives de la rivière Bagmati, qui traverse le temple hindou de Pashupatinath, qu’ont lieu les crémations.
Le bouddhisme tibétain est très présent à Kathmandu avec ses temples et ses monastères mais domine dans le nord du pays.
Les enfants népalais sont très vite appelés à prendre des responsabilités au niveau de la famille, pour gagner quelques roupies.
La religion hindoue est majoritaire et très suivie par les népalais. Lorsque d’autres courants religieux cohabitent, cela se passe apparemment dans la tolérance et sans aucune difficulté.
Ouvriers à la tâche, espérant être engagés pour une ou plusieurs journées de travail.
La consommation du hachich gangrène la santé des habitants. L’accès sans limite à cette drogue a engendré la déferlante hippie sur Kathmandu fin 1966 dont les conséquences furent néfastes pour toute la population.
Les activités agricoles débordent en ville, alors que la campagne entoure entièrement la capitale du Népal.
Sur la toute nouvelle route chinoise. En construisant ce nouvel accès menant au Tibet envahi par les chinois, ces derniers furent soupçonnés d’avoir renforcés les ponts pour résister aux poids des tanks et des camions…
Marianne préparant le repas en jonglant avec 1 casserole et 1 seul feu…