Katmandu : nous atteignons la capitale du Népal le 20 juillet 1965, après 344 jours de route.
Nous sommes sous le charme de Katmandu et de ses multiples temples et artisans.
Femmes séchant le riz sur une place de Patan.
Le cardage de la laine se fait par des tâcherons embauchés dans les rues.
En 1965, Katmandu est une petite ville népalaise authentique, sans influence occidentale.
Les ruelles de la ville sont entrecoupées par de petits temples que les habitants honorent.
A cette époque, Katmandu est encerclée par les petites fermes et les rizièrres de la vallée.
Festival religieux dans les rues de Kathmandu.
Bhaktapur et la pagode à 5 toits de Nyatapola.
C’est à l’ethnie Newars que le Népal doit les délicates sculptures sur bois de ses temples.
Tout ce qui permet de survivre est conservé, comme ici la bouse de vache pour se chauffer.
A la fin des pluies, nous quittons la vallée de Katmandu pour aller marcher dans l’Himalaya.
Du plus vieux au plus jeune, nombreux sont les Népalais obligés de porter des charges pour gagner quelques roupies.
Du plus vieux au plus jeune, nombreux sont les Népalais obligés de porter des charges pour gagner quelques roupies.
Vue sur l’Annapurna… Tout un programme.
Paysan labourant son lopin de terre à la main.
La rue principale de Patan.
Sur les sentiers népalais.
Porteurs en attente d’emploi.
Jusque dans les ruelles de Kathmandu les femmes tisser leurs longs tissus.
Chaque journée débute par les offrandes (puja) aux diverses divinités protectrices.
Swayambhunath, haut lieu du bouddhisme tibétain de la vallée de Kathmandu.
Même âgé, on reste coquet…
Epouiller ses enfants. Une tâche quotidienne.
Match du siècle à Katmandu: «The beatniks united football team» vs «The Nepalese national football team» !