Dans le bazar de Peshawar.
Chitral, nord du Pakistan. Au printemps la passe de Lowari est encore enneigée. Très mal équipés et lourdement chargés la tâche est rude pour les porteurs.
Sommet du col de Lowari à 3120 m.
Arrivés dans la vallée de Chitral, les porteurs éreintés récupèrent au soleil.
Le Shah Bourkhan Din, ancien capitaine de la RAF, devenu gouverneur du Chitral.
Paysan à la barbe teintée au henné.
Labour avec le soc et les bœufs.
Les champs sont tous protégés par des murets de pierres.
Dans les années soixante les coutumes britanniques étaient encore bien vivantes…
Entrainement des « scouts », une police propre au nord pakistanais.
Radeau prévu pour traverser les larges bras des rivières.
Julien traversant un bras de rivière.
Le seul étranger rencontré au Chitral : le parisien Gérard Tingaud devenu depuis un ami.
Kafiristan (vallée du Chitral). Les Kafers sont une population non islamisée.
La vie dans les vallées du Kafiristan s’écoule au rythme des métiers à tissés et des labours.
A l’époque ces vallées étaient totalement autonomes, sans influences musulmanes.
La culture, les vêtements et les mœurs étaient propre aux Kafers.
Il nous a semblé que les cercueils en bois étaient à l’air libre…
Dans le Kafiristan les femmes sont actives et participent à tous les travaux de la communauté.
Les Kafers ou Kalashs, vivent dans un environnement naturel magnifique.
Les maisons sont faites de terrasses auxquelles ont accèdent par des escaliers taillés dans un tronc d’arbre.
La sculpture sur bois orne les buffets, les armoires et autre mobilier de la maison.
Gérard et Julien avant la passe de la Shandur (3800 m.) conduisant à la vallée de Gilgit.
S’aidant des pieds et des mains, les artisans pakistanais nous laissent pensifs…
Ici, les bras d’un assistant remplacent le moteur.