La présence de constructions fortifiées protégeant l’accès du Nuristan témoigne que le passé de ce coin de terre fut l’objet de conflits importants.
Les villages du Nuristan sont solidement accrochés aux pentes de la montagne.
Chemin conduisant au centre du village.
Ici on connaît la hotte et la chaise qui est basse, faite de lanières de cuir tendues sur la structure en bois de la chaise.
Rencontre avec un couple d’américains… étonnant car ici les touristes sont plutôt rares.
Les intérieurs des maisons sont plutôt sombres et exigus, mais faciles à chauffer durant les rudes hivers.
La population est particulièrement pauvre et démunie.
L’architecture des villages est intelligente, parfaitement adaptée à l’environnement montagnard. Des terrasses permettent le séchage des graines et des escaliers relient les divers lieux d’habitation.
Echelle taillée d’une seule pièce dans un tronc. Les murs des maisons sont fait de pierres mélangées à du mortier de terre puis consolidés entre des poutres de bois. Cette architecture caractérise l’art de la construction du Nuristan.
Grâce à des bisses ingénieux, au Nuristan on maîtrise l’eau pour arroser les cultures, source de nourriture.
La réserve de bois permet de cuisiner et de chauffer la pièce commune.
L’usage de la hotte sert aussi de réservoir pour les graines à moudre.
Groupe de vautours, jadis très nombreux mais aujourd’hui disparus, empoisonnés par les pesticides agricoles.